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Journaliste depuis 30 ans, à la fois spécialiste des pays en proie à des conflits et des questions d'écologie,de protection de la nature et de société; derniers livres publiés: Guerres et environnement (Delachaux et Niestlé), L'horreur écologique (Delachaux et Niestlé), "La Grande Surveillance" (Le Seuil),une enquête sur tous les fichages (vidéo, internet, cartes bancaires,cartes médicales, telephone, etc). Et enfin "Enquête sur la biodiversité" (ed Scrinéo, coll Carnets de l'info). Aprés 20 ans au Journal du Dimanche, collabore désormais à l'hebdomadaire Politis et à Médiapart.

jeudi 20 novembre 2008

Le régne de Sarkozy: les très riches face aux très pauvres

Jeudi 22 novembre

"La plus grande preuve du malheur d'un pays est l'opposition entre la très grande richesse et la très profonde pauvreté; plus la différence est marquée, plus le pays est malheureux"
(Caspar Riesbeck, historien austro-hongrois, 1783)

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Intéressante citation, mais d'où la tenez-vous ?
Nous trouvons quant à nous une traduction anglaise du Voyage en Allemagne de Riesbeck où il est écrit :
The most unhappy countries are those in which the greatest riches and the greatest poverty are to be met with at the same time. Such a state cannot subsist long : one part of the inhabitants must be despots, the other slaves.
On est là au-delà du simple concept de "malheur", d'où notre questionnement.

Anonyme a dit…

Cette citation figure dans "1791, la dernière année de Mozard" de H.C. Robbins Landon, editions FAyard, Page 93

CMV

Anonyme a dit…

thank you