Nicolas Sarkozy et le nucléaire
16 mars
+ Petite découverte dans la biographie de Nicolas Sarkozy, période soigneusement dissimulée : en 1986, Nicolas Sarkozy était délégué interministériel pour les énergies et le nucléaire et c’est lui qui a orchestré en coulisses, le célèbre arrêt du nuage de Tchernobyl aux portes de la France. Il était déjà vigilant sur les frontières…
9 commentaires:
Existe-t-il une ou des sources "neutres" prouvant cette information biographique qui peut faire réfléchir de nombreux électeurs ?
très cordialement,
Luc
Je ne suis pas certain que cette information soit à même de faire "réfléchir" des électeurs, car cette fonction n'a rien d'illégale. Mais bien sur, il suffit de consulter les annuaires politiques de cette époque et les comptes-rendus des Conseils des ministre présidés par monsieur Chirac entre 1986 et 1988.
Le dépouillement minutieux de la presse de l'époque devrait également fournir cette information
Claude-Marie VADROT
la simple mention de sa fonction à l'époque suffit à établir son implication directe dans l'orchestration du nuage de fumée pour cacher le vrai nuage ...
merci pour l'info, mais bon, c'est pas comme si qui que ce soit avait l'intention de voter pour lui ... ;)
Rien à voir avec le sujet mais pourquoi josé bové entretient-il un tel suspense ? c'est quasi-insoutenable, d'autant qu epartout sur la planète, 2 et 2 font 4 ?
José Bové "n'entretient" pas un suspense, il est lui même dans le doute car, ainsi qu'il me l'a expliqué, il ignore combien de parrainages sont parvenus directement au Conseil Constitutionnel dans les 24 heures ayant précédé la cloture de la réception des formulaires. Sur ces derniers parrainages, contrairement à ce qui s'est passé les jours précédents, le Conseil n'a donné aucune information.
cmv
Exposé de la méthode des faux calculs nucléaires produits par certains pour arriver à trouver des doses qui satisferont l’industrie nucléaire, mais produiront en finale une vraie hécatombe planétaire.
Dénoncé par le président et le Vice-président de l’AIPRI, Maurice, E. ANDRE et Paolo SCAMPA.
AIPRI Association Internationale pour la Protection contre les Rayons Ionisants.
L’énergie ionisante est une énergie mortifère. Elle est particulièrement mortifère lorsqu’elle est introduite dans le corps via des particules infinitésimales d’origine industrielle ou militaire qui pénètrent dans les cellules vivantes de notre organisme. Il suffira en effet qu’une seule et unique particule radioactive microscopique (de Plutonium par ex.) bombarde de manière chronique les tissus qui l’entourent pour provoquer à terme, bien des années voire des décennies plus tard, le surgissement d’un cancer. Toutefois pour comprendre et prouver, l’extrême danger que constitue la dispersion, l’ingestion et l’inhalation, sous forme de nanoparticules métalliques de radioéléments artificiels et en particulier ceux qui émettent des particules Alpha, encore faut-il correctement savoir calculer la dose d’irradiation délivrée aux tissus touchés par ces irradiations, par ces radioéléments. Se tromper ici, de
tissus touchés ou dans le processus des calculs, n’est-ce pas ni plus ni moins plonger l’humanité entière dans une grave voie erronée et ensuite dans la mort ?
1 Qu’est-ce qu’un calcul de dose ? Ce n’est pas une opération simple du ressort de tous les universitaires. Car elle demande une spécialisation et une connaissance précise de certaines définitions.
L’énergie ionisante est une énergie destructrice qui donne la mort. Elle n’a rien de comparable avec l’énergie thermique douce. Elle produit des acides et des bases au sein des cellules vivantes et frappent les cellules parfois avec une énergie cinétique EXTREMEMENT violente à l’échelle cellulaire, surtout dans le cas des irradiations ALPHA internes. Elle est particulièrement mortifère lorsqu’elle est introduite dans le corps via des particules infinitésimales radioactives qui approchent les cellules vivantes de notre organisme de très près. (effets de proximité) avec une vitesse de 20 000 km par seconde. Installée dans les tissus il suffira d’une seule et unique particule microscopique qui bombardera (irradiera) de manière chronique les tissus qui l’entoure avec des projectiles ALPHA , pour provoquer à terme le surgissement d’un cancer. (Par exemple un minuscule morceau de Plutonium 239 qui reste dans un poumon) Toutefois pour comprendre et prouver l’extrême danger que constitue la moindre dispersion, aussi infime soit-elle, de radioéléments artificiels émetteurs Alpha, (infimes poussières de Plutonium par exemple), encore faut-il correctement calculer la dose locale (hot point ou point chaud) d’irradiation délivrée aux tissus par les particules ALPHA de radioéléments morcelés introduits dans l’organisme.
Calculer une dose d’irradiation ionisante ce n'est rien de moins que répartir correctement l’énergie ionisante délivrée dans la masse de chair qui a absorbé cette énergie. C’est telle quantité d’énergie dissipée divisée par tel volume (ou telle masse) de chair qui l’a absorbée.
L’intensité de l’irradiation dépend étroitement du volume irradié. Plus le volume irradié est considéré comme grand plus l’irradiation est faible, plus le volume irradié diminue plus l’irradiation est intense. Pour estimer avec objectivité la dose reçue il est capital de rester correct et de préciser que le volume irradié de chair est fonction du rayon de pénétration des rayons ionisants ; rayons de pénétration parfaitement connus et forcément bornés qui ne saurait irradier la chair qu’ils n’atteignent pas. Le volume de chair irradié ne saurait être pour autant beaucoup plus grand que le volume dessiné par la trajectoire du rayon pénétrateur. Tout comme un clou fait un trou dans le mur à la mesure de la longueur et de l’épaisseur du clou, une particule alpha irradie une masse de chair à la mesure du volume occupé par sa trajectoire d’ionisation dans la chair.
En bref, dans tout calcul de dose la détermination objective du volume « absorbant » est cruciale. Fausser ce volume qui est un diviseur est en effet immédiatement fausser l’évaluation correcte de la dose. Le grossir de manière artificielle, pour ne pas dire frauduleuse, est minorer la dose pathogène réellement reçue.
2 Quel volume utilise la physique nucléaire officielle ? Utilise-t-elle le volume réellement irradié ?
Non selon les exemples que nous lisons, et l’exemple qui suivra cet exposé montrera une fraude gigantesque qui atteindra le milliard de fois l’augmentation de la zone réelle irradiée afin de diviser d’autant la dose réellement reçue.
Ce grossissement énorme des volumes irradiés avec la sous-estimation monstrueuse des doses pathogènes absorbées qui en découle, est cette honteuse falsification systématique de la réalité. C’est cependant la norme officielle et la pratique courante qui se joue depuis l’aube nucléaire sous les yeux ignorants, indifférents des physiciens diplômés. Car le volume officiel considéré irradié est grossi un milliard de fois respectivement au volume réellement irradié. C’est pourtant ce monstre boursouflé qui régente notre radioprotection, qui réglemente les législations et les décisions de justice, qui, consentent la pollution radioactive de la biosphère et de la terre sans réagir, portent à la mort collective les populations et les soldats.
Cette infernale inflation des volumes, cette criminelle minoration des doses reçues, correspond en tout et pour tout avec ce que Maurice Eugène ANDRE avait déjà souligné et dénoncé depuis longtemps (1978) avec ses travaux publiés en revue scientifique sur « l’effet de proximité »[1].
Mais jugez par vous même. Bien que l'on sache le rayonnement alpha physiquement borné à 50 microns dans les tissus[2] et en mesure d'irradier à terme uniquement une sphère maximale de 100 microns de diamètre pesant 5,24E-7 gramme, (E-7 signifiant exposant-7) l’énergie d’une particule de plutonium 239 logée dans un poumon est absorbée, « selon nos savants officiels », par le poumon en entier ! ( 570 grammes !) Bref ne lui fait rien du tout puisque l’énergie radiative se trouve répartie dans un faux volume énorme[3] et totalement falsifié ! Passez sur le tour inutilement compliqué pris là pour calculer le nombre de désintégrations en 2 ans émises par cette particule de plutonium, concentrez-vous sur la valeur du diviseur. C'est là que les faussaires interviennent et que les ignorants trébuchent. Car 570 grammes au lieu de 5,235983E-7 gramme c’est une différence abyssale de près d’un milliard de fois. L'énergie y est là artificiellement distribuée dans un volume de chair qui est 1 milliard de fois plus grand qu'il ne peut physiquement l'être (570/5,235983E-7 = 1.088.620.730)…
Notre destin planétaire se joue pourtant là dans ce diviseur qui minore artificiellement de plusieurs centaines de millions de fois la dose réelle absorbée. C'est grâce à cette tromperie qu'on a répandu impunément autant d'uranium 238 dans l'air, c’est grâce à elle qu’on dénie la justice aux populations malades et aux soldats contaminés, c’est grâce à elle que l’on habite ici et là des zones interdites.
3 Conclusion
Ces calculs quasi officiels enflent ainsi à démesure les volumes afin de baisser d’autant les doses « effectivement » absorbées, afin de leur donner la rassurante innocuité apparente du millisievert et du millirad. On ne peut plus faussement, ces « calculs officiels » considèrent ionisés des vastes portions de chair pourtant intactes. Une si monumentale bévue (voulue ?) en « radio-protection » est d’une gravité extrême. Elle entraîne une perverse sous-estimation systématique des doses absorbées, elle atténue d’office les dangers et falsifie le seuil d’alarme. Elle pourrait être pour cela rien de moins qu’un crime passible d’une cour martiale. Car ce n’est pas là non seulement se tromper dans les calculs mais aussi tromper ceux dont la vie dépend de ces calculs: les agents du nucléaire, les malades, les soldats, l’humanité entière. On ne badine pas impunément avec les calculs nucléaires.
Notre opinion est que ces « calculs officiels de radio-protection » ne sont ainsi rien d’autre que le masque d’une « radio-agression » généralisée des personnes et des populations. Mais qu’importe aux « scientifiques » préposés si l’artifice de calcul est l’article de la mort de l’humanité. Qu’importe s’ils le taisent, pendant que « l’atome de la paix » contamine et tue. Un prix Nobel de la Paix des cimetières le couronne.
Maurice E. ANDRE
Président de l’AIPRI.
Paolo SCAMPA
Vice-président de l’AIPRI
CI –DESSOUS les TEXTES REFUTES PAR NOUS. __
http://www.phyast.pitt.edu/~blc/book/chapter13.html
Radiation Dose to Lung from Plutonium and the Lung Cancer Risk
This calculation requires knowing (or accepting) some
scientific definitions and may therefore not be understandable to many readers.
We calculate the dose to the lung from a trillionth of a
pound of plutonium residing there for 2 years. The number
of plutonium atoms is 10-12 lb x 450 g/lb x (6 x 1023 atoms/239 gm)= 1.1 x 1012 where 6 x 1023 is Avogadro's number and 239 is the atomic weight. Since half of the plutonium atoms will decay in 24,000 years (the half life), the fraction undergoing decay during the 2 years it spends in the lung is a little more than one in 24,000;
actually it is 1/17,000. The number that decay is then
(1.1 x 1012/17,000 =) 7 x 107. Each decay
releases an energy of about (5 MeV x 1.6 x 10-13 joules/MeV =) 8 x 10-13 joules, so the total radiation energy deposited is
(7 x 107 x 8 x 10-13 =) 5.6 x 10-5 joules.
The weight of the average person's lung is 0.57 kg46;
thus the energy deposited is (5.6 x 10-5 / 0.57 =) 1 x 10-4
joules/kg. The definition of a millirad is 1 x 10-5 joules of energy
deposit per kg of tissue. The dose is therefore (1 x 10-4 / 1 x 10-5 =) 10 millirad. Since only 15% on what is inhaled spends this 2 years in the lung, 23 the exposure per trillionth of a pound inhaled is (10 x 0.15 =) 1.5 millirad. For alpha particles - the radiation emitted by plutonium - 1 millirad equals 20 millirem, so the dose to the lung is (1.5 x 20 =) 30 millirem per trillionth of a pound inhaled.
Estimates by BEIR, UNSCEAR, and ICRP give a risk of about 5 x 10–7 lung cancers per millirad of alpha particle exposure. The number of lung cancers per pound inhaled is therefore (1.5 x 1012 x 5 x 10-7 =) 8 x 105. Mays estimates 4 x 105 liver and bone cancers per pound inhaled, bringing the total effect to 1.2 million cancers of all types per pound inhaled.
46. International Commission on Radiological Protection (ICRP), Report of the Task Group on Reference Man, ICRP Publication 23 (Pergamon Press, New York, 1975).
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[1] Plutonium, poumons et effets de proximité, M.E. André, in ETUDES & EXPANSION, n° 276, 1978. Sur toile in http://users.skynet.be/mauriceandre/ sous le titre URANIUM et PLUTONIUM c’est pas du chocolat.
[2] “Hot” or radioactive particle in lung tissue”, photo by Del Tredici, Burdens of Proof by Tim Connor, Energy Research Foundation, 1997. http://www.mindfully.org/Nucs/Hot-Particle-Lung-Tissue1997.htm
http://www.ccnr.org/alpha_in_lung_f.html
http://lowdose.tricity.wsu.edu/resources_pics/pages/003%20image_gif.htm
[3] C’est comme soutenir qu’une grenade lancée dans une pièce remplie de monde ne produit aucun dégât puisque le quartier où l’explosion est advenue est toujours debout, intact.
Bonjour, vous indiquez de quelle façon on pourrait recouper votre information, mais l'avez-vous vous même trouvée dans les documents que vous citez ? Vous serait-il dans ce cas possible de préciser ? Merci beaucoup ! Audrey
Bonjour, avez-vous eu personnellement en main cette info ? Le Réseau sortir du nucléaire parle lui d'une fonction de "chargé de mission pour la lutte contre les risques chimiques et radiologiques" que Sarkozy a assumé en 1987, soit un an après le drame de Tchernobyl...
Merci pour votre réponse, je crois également que l'enjeu est très important ! Christelle
défiez-vous de la haine comme moteur d'analyse: sarkozy peut ou doit (c'est selon...) se combattre sur ses idées et projets non sur des rumeurs ou ragots; un blog n'est pas une conversation privée, c'est une mise en scène publique de propos faussement privés: la rumeur y court aussi sûrement que dans les arrières-cours nauséabondes déjà visitées à d'autres époques; laissez à le pen et tous les spécialistes du complot mondial le plaisir délétère des sous-entendus; l'ignominie est une belle autoroute qui conduit rapidement à l'anti...-tout!
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